RdA

En fait, pour ce que j'en sais, les joueurs créent ensemble le monde à partir d'un postulat, qui suscite parfois des questions philosophique... J'ai eu l'occasion d'en jouer et je voulais savoir si c'était toujours le même type d'ambiance, assez différente du jdr "classique". Après, je suis d'accord: tout monde de jeu de rôle s'adapte à ce que les joueurs et le mj en font.

plutonienne a écrit :En fait, pour ce que j'en sais, les joueurs créent ensemble le monde à partir d'un postulat, qui suscite parfois des questions philosophique...

Là, tu vois, c'est le genre de phrase qui me fait fuir.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
Je suis principalement meneur de jeu à Rêve de Dragon, Maléfices et Ambre (qui ne sont pas spécialement des jeux narrativistes) et les questions sont tout autant philosophiques que bassement matérielles.

Lol je ne veux faire fuir personne je me pose juste des questions après une expérience de jdr très différente de ce que je connais (et oui maléfices et rêve de dragon en font partie) où le but de la partie est d'aborder des thèmes philosophiques et un questionnement abstrait... malheureusement, je ne me souviens pas pour l'instant du nom de ces jeux.

Pourrais-tu décrire plus en détail cette expérience philosophico-ludique que tu as vécue (peu importe le nom du jeu) ?
Cela m'intéresse !

plutonienne a écrit :En fait, pour ce que j'en sais, les joueurs créent ensemble le monde à partir d'un postulat, qui suscite parfois des questions philosophique... J'ai eu l'occasion d'en jouer et je voulais savoir si c'était toujours le même type d'ambiance, assez différente du jdr "classique". Après, je suis d'accord: tout monde de jeu de rôle s'adapte à ce que les joueurs et le mj en font.

Ces phrases m'ont fait pensé à Arbre, dont on parle ici : forum/aides-de-jeu-et-variantes-de-regl ... -1287.html

Arbre ? Celui qui cache la forêt ?




Mouahahahahaha

Dans les faits cette étude sur la théorie des trois volets conclue également qu'il est difficile de séparer les trois aspects du jeu. Je suis d'abord narrativiste, personnellement, mais j'ai besoin d'une vrai dose de ludisme et d'une micro touche de simulationnisme. Un genre de 60%, 30%, 10%. À proportions différentes, nous sommes tous un peu des trois et les jeux qui ignorent totalement l'un de ces aspects(existent-ils) n'ont que peu d'avenir.

Parler de "jeux narrativistes" me paraît donc impropre, ces jeux se disent eux-mêmes "jeux à narration partagée" ou "jeux de rôle sans mj".
Vampire City, Prosopopée, Polaris (pas celui sous la mer, l'autre ^^) et Oltréé ! (le plus réussi) en sont des exemples.

Problème, selon moi, pour Prosopopée, par exemple, lorsque mes amis et moi avons envie de faire du jdr, nous n'avons pas envie d'un Prosopopée, ce qui montre que quand nous y jouons (rarement), nous n'assouvissons pas notre soif de jdr, les aspects ludistes et simulationnistes y sont, au fond, trop ténus.

plutonienne a écrit :un postulat, qui suscite parfois des questions philosophique...

Je comprends ce que tu veux dire. A Trauma, quand cela est proposé, il est toujours difficile de choisir entre une mitrailleuse M2 montée sur un support véhicule et un lance grenade M79 avec une douzaine de pralines en 40mm.

Désolé, wargamer avant de devenir rôliste, la simulation m'attire forcément plus que les à peu près.

Yahorlino a écrit :Pourrais-tu décrire plus en détail cette expérience philosophico-ludique que tu as vécue (peu importe le nom du jeu) ?
Cela m'intéresse !

Je crois que miss plutonienne n'a pas vu ma question !