Qui je fus, qui je suis
Publié : mar. 15 janv. 2019 09:42
Bonjour à toutes et tous.
J'ai travaillé comme cartographe "auxiliaire" avec l'équipe de Multisim, pour redessiner les cartes de Denis Gerfaud dans les scenarios de Rêve de Dragon, vers la fin des années 1990. Mais j'ai aussi, et suis toujours quand j'en ai le loisir, maître de jeu pour des jeux comme Donjons & Dragons (toujours), ou ce qui y ressemblerait. J'ai donc vu évoluer les jeux de rôle depuis l'époque fondatrice de D&D, arrivé en France vers 1984 comme on sait, jusqu'aux règles quasiment injouables de certains jeux comme Rolemaster, excessivement "simulationnistes", jusqu'aux Princes d'Ambre, qui supprimaient dés et règles, en passant par les nouvelles formules de D&D. Retour à la simplicité qui à mon sens préserve le plaisir de jouer, tout simplement, au bénéfice aussi de la narration et de l'inventivité des joueurs. Je reste assez circonspect sur l'influence des rejetons du jeu de rôle sur cellui-ci, je veux dire les jeux vidéo et les jeux de cartes, mais c'est à débattre!
Ma contribution à l'univers du jeu de rôle est modeste, mais je suis très content d'avoir pu participer aux productions de Multisim qui, à l'époque, représentaient une petite révolution dans les jeux de rôle. Jusque là, la présentation était souvent assez laide, il faut bien les dire.
Un jeu comme Nephilim reste un moment important dans l'histoire du genre, tout comme les coffrets de Rêve de Dragon, illustrés par Florence Magnin.
J'ai écrit de nombreux scenarii restés inédits, et même si depuis je suis devenu universitaire, je continue à pratiquer les littératures de l'imaginaire, comme lecteur ou écrivain. Les joueurs s'étant dispersés, reste l'envie de raconter des histoires...
J'ai travaillé comme cartographe "auxiliaire" avec l'équipe de Multisim, pour redessiner les cartes de Denis Gerfaud dans les scenarios de Rêve de Dragon, vers la fin des années 1990. Mais j'ai aussi, et suis toujours quand j'en ai le loisir, maître de jeu pour des jeux comme Donjons & Dragons (toujours), ou ce qui y ressemblerait. J'ai donc vu évoluer les jeux de rôle depuis l'époque fondatrice de D&D, arrivé en France vers 1984 comme on sait, jusqu'aux règles quasiment injouables de certains jeux comme Rolemaster, excessivement "simulationnistes", jusqu'aux Princes d'Ambre, qui supprimaient dés et règles, en passant par les nouvelles formules de D&D. Retour à la simplicité qui à mon sens préserve le plaisir de jouer, tout simplement, au bénéfice aussi de la narration et de l'inventivité des joueurs. Je reste assez circonspect sur l'influence des rejetons du jeu de rôle sur cellui-ci, je veux dire les jeux vidéo et les jeux de cartes, mais c'est à débattre!
Ma contribution à l'univers du jeu de rôle est modeste, mais je suis très content d'avoir pu participer aux productions de Multisim qui, à l'époque, représentaient une petite révolution dans les jeux de rôle. Jusque là, la présentation était souvent assez laide, il faut bien les dire.
Un jeu comme Nephilim reste un moment important dans l'histoire du genre, tout comme les coffrets de Rêve de Dragon, illustrés par Florence Magnin.
J'ai écrit de nombreux scenarii restés inédits, et même si depuis je suis devenu universitaire, je continue à pratiquer les littératures de l'imaginaire, comme lecteur ou écrivain. Les joueurs s'étant dispersés, reste l'envie de raconter des histoires...